La définition de la notion de population autochtone a connu une évolution certaine au fil des années. La sous-région abrite deux grandes catégories de peuples autochtones au sens du droit international : les pasteurs nomades et les peuples autochtones des forêts. ² Une de leur caractéristique commune est qu’ils ont un mode de vie diffèrent de celui de la société dominante et cette différence les exclue de la vie politique, économique, sociale et culturelle à l’échelle locale, régionale/provinciale et nationale. Leur mode vie est étroitement lié aux ressources naturelles et le fait que le mode de gestion de l’espace et des ressources ne tienne pas compte de leurs spécificités les marginalise.
Notre action consiste à :
- Promouvoir la reconnaissance de leur identité afin que les droits qui leurs sont reconnus au niveau international puissent leurs être appliques dans la sous régions d’Afrique centrale.
- Plaider pour le respect des engagements internationaux et régionaux des pays d’Afrique centrale à travers la soumission de rapports alternatifs aux organes de traites et le suivi des recommandations formulées par ces derniers
- Contribuer à l’amélioration des conditions de vie de ces groupes sociaux en jouant le rôle de facilitateur avec l’Etat dans le cadre de diverses activités portant sur l’influence des lois, programmes, politiques y compris la mise en œuvre de projets visant une meilleure insertion de ces derniers
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- Travailler en tenant compte des différents secteurs (forets, foncier, industries extractives etc.) conjointement avec des communautés, réseaux d’autochtones et de partenaires à l’échelle nationale, régionale et internationale
- Faciliter leur visibilité et l’expression de leurs points de vue. Nous avons une bonne connaissance du cadre international des droits de l’homme ainsi que des lois nationales, des pratiques pour mieux déterminer les enjeux et défis auxquels ils font face.
Nos axes d’intervention :
- Plaidoyer
- Protection
- Renforcement des capacités